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Par lapalettedecouleurs le 7 Janvier 2016 à 00:01
La vie intime des artistes et des intellectuels de la première moitié du XXe siècle. Dernier épisode : la Seconde Guerre mondiale éclate. Nombre d’artistes et d’intellectuels fuient l’Europe. Ceux qui restent tentent de survivre, de peindre et d’écrire pour lutter contre l’occupant ou simplement pour continuer d’exister. Les uns collaborent, les autres résistent, beaucoup s’accommodent.
Mêlant documents d’’archive et techniques d’animation traditionnelle (peinture sur verre, papiers découpés, encre, gouache...), Les aventuriers de l'art moderne raconte la vie intime des artistes et des intellectuels de la première moitié du XXe siècle. Par son approche audacieuse, novatrice et visuellement splendide, la série révolutionne le documentaire d'art : les peintures en mouvements, les dessins, les archives animées servent le propos, accompagnent la narration, ajoutant une émotion visuelle à celle de l'histoire. Scandales, célébrations, tragédies et triomphes : sous le pinceau, le documentaire se transforme en tableau vivant. À travers ces photos animées et ces peintures mouvantes, Picasso, Apollinaire, Soutine, Breton et tous les autres aventuriers de l'art moderne ressuscitent, d'une manière troublante et magnifique.
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Par lapalettedecouleurs le 6 Janvier 2016 à 00:01
La vie intime des artistes et des intellectuels de la première moitié du XXe siècle. Cinquième volet : au début des années 1930, la montée du fascisme conduit les artistes à s’engager. Dès 1936, la guerre d’Espagne mobilise : Malraux, Robert Capa et Gerda Taro soutiennent les Républicains. En 1937, le massacre de Guernica inspire à Picasso sa toile.
Mêlant documents d’archive et techniques d’animation traditionnelle (peinture sur verre, papiers découpés, encre, gouache...), Les aventuriers de l'art moderne raconte la vie intime des artistes et des intellectuels de la première moitié du XXe siècle. Par son approche audacieuse, novatrice et visuellement splendide, la série révolutionne le documentaire d'art : les peintures en mouvements, les dessins, les archives animées servent le propos, accompagnent la narration, ajoutant une émotion visuelle à celle de l'histoire. Scandales, célébrations, tragédies et triomphes : sous le pinceau, le documentaire se transforme en tableau vivant. À travers ces photos animées et ces peintures mouvantes, Picasso, Apollinaire, Soutine, Breton et tous les autres aventuriers de l'art moderne ressuscitent, d'une manière troublante et magnifique.
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Par lapalettedecouleurs le 5 Janvier 2016 à 00:01
La vie intime des artistes fondateurs de l'art moderne, du Montmartre de 1900 jusqu'à la Libération. Un ballet passionnant de destins croisés, superbement ressuscités par l'animation. Quatrième volet : en réponse à l’absurdité de la guerre, la révolution dadaïste et surréaliste est en marche. À sa tête, André Breton et Louis Aragon, entourés de Man Ray, Robert Desnos et les autres.
En réponse à l’absurdité de la guerre, la révolution dadaïste et surréaliste est en marche. À sa tête, André Breton et Louis Aragon, entourés de Man Ray, Robert Desnos et beaucoup d’autres. Alors que Ray vit une passion avec Kiki, Aragon rencontre Elsa Triolet. Picasso vit entre deux femmes. Salvador Dalí fait irruption et rebat les cartes.
Tableaux vivants
Mêlant documents d’archive et techniques d’animation traditionnelle (peinture sur verre, papiers découpés, encre, gouache...), Les aventuriers de l'art moderne raconte la vie intime des artistes et des intellectuels de la première moitié du XXe siècle. Par son approche audacieuse, novatrice et visuellement splendide, la série révolutionne le documentaire d'art : les peintures en mouvements, les dessins, les archives animées servent le propos, accompagnent la narration, ajoutant une émotion visuelle à celle de l'histoire. Scandales, célébrations, tragédies et triomphes : sous le pinceau, le documentaire se transforme en tableau vivant. À travers ces photos animées et ces peintures mouvantes, Picasso, Apollinaire, Soutine, Breton et tous les autres aventuriers de l'art moderne ressuscitent, d'une manière troublante et magnifique.
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Par lapalettedecouleurs le 4 Janvier 2016 à 00:01
La vie intime des artistes fondateurs de l'art moderne, du Montmartre de 1900 jusqu'à la Libération. Un ballet passionnant de destins croisés, superbement ressuscités par l'animation. Troisième volet : en 1916, à Montparnasse, les artistes étrangers crèvent de faim. Le plus pauvre des Russes, Soutine, se lie d’amitié avec le plus beau des Italiens, Modigliani.
1916. À Montparnasse, les artistes étrangers crèvent de faim. Le plus pauvre des Russes, Soutine, se lie d’amitié avec le plus beau des Italiens : Modigliani. En 1917, Apollinaire monte sa pièce Les mamelles de Tirésias, sous-titrée "drame surréaliste". Le mot est né. La Première Guerre mondiale est finie, mais Apollinaire meurt de la grippe espagnole. Son enterrement marque la fin de la bohème.
Tableaux vivants
Mêlant documents d’archive et techniques d’animation traditionnelle (peinture sur verre, papiers découpés, encre, gouache...), Les aventuriers de l'art moderne raconte la vie intime des artistes et des intellectuels de la première moitié du XXe siècle. Par son approche audacieuse, novatrice et visuellement splendide, la série révolutionne le documentaire d'art : les peintures en mouvements, les dessins, les archives animées servent le propos, accompagnent la narration, ajoutant une émotion visuelle à celle de l'histoire. Scandales, célébrations, tragédies et triomphes : sous le pinceau, le documentaire se transforme en tableau vivant. À travers ces photos animées et ces peintures mouvantes, Picasso, Apollinaire, Soutine, Breton et tous les autres aventuriers de l'art moderne ressuscitent, d'une manière troublante et magnifique.
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Par lapalettedecouleurs le 3 Janvier 2016 à 00:01
Sur le mode du récit, la vie intime des artistes fondateurs de l'art moderne, du Montmartre de 1900 jusqu'à la Libération. Un ballet passionnant de destins croisés, superbement ressuscités par la peinture, l'illustration et l'animation. Deuxième volet : la bande de Picasso (1906-1916).Avec "Les demoiselles d’Avignon", le cubisme s’annonce et scandalise...
Avec Les demoiselles d’Avignon, le cubisme s’annonce et scandalise. Les balbutiements de la reconnaissance artistique s’accompagnent de ruptures : Picasso déménage à Montparnasse. La Première Guerre mondiale éclate. Picasso et Max Jacob, réformé, restent à Paris. Braque, Derain et Apollinaire partent au front.
Tableaux vivants
Mêlant documents d’archive et techniques d’animation traditionnelle (peinture sur verre, papiers découpés, encre, gouache...), Les aventuriers de l'art moderne raconte la vie intime des artistes et des intellectuels de la première moitié du XXe siècle. Par son approche audacieuse, novatrice et visuellement splendide, la série révolutionne le documentaire d'art : les peintures en mouvement, les dessins, les archives animées servent le propos, ajoutant une émotion visuelle à celle de l'histoire. Scandales, célébrations, tragédies et triomphes : sous le pinceau, le documentaire se transforme en tableau vivant. À travers ces photos animées et ces peintures mouvantes, Picasso, Apollinaire, Soutine, Breton et les autres aventuriers de l'art moderne ressuscitent, d'une manière troublante et magnifique.
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Par lapalettedecouleurs le 2 Janvier 2016 à 00:02
Quelques indications concernant cette toile:
La nature morte est réalisée uniquement avec les trois couleurs primaires. Le choix s'est porté sur du bleu de Prusse, du rouge de cadmium moyen (habituellement, il est préféré du rouge carmin ou du magenta) et du jaune de cadmium moyen. On met en réserve du blanc de titane pour certaines nuances. Avec la combinaison des couleurs primaires et du blanc, on peut obtenir, en théorie, l'ensemble des couleurs chaudes et froides qui composent la palette, en faisant varier les proportions dans les mélanges, pour obtenir du gris ou de la couleur terre de Sienne par exemple.
Pour l'obtention du vert, on associera du bleu et du jaune, en respectant cependant un point important qui est l'utilisation de pinceaux ou de matériels très propres, sans cette précaution, on obtiendra des teintes grisâtres, sans contraste et relief, qui seront loin de correspondre aux résultats escomptés.
Pour une teinte ocre jaune, on mélangera du jaune de cadmium moyen avec du rouge de cadmium moyen, cette association étant complétée avec un peu de bleu de Prusse. L'obtention d'une terre de sienne brûlée se fera en y ajoutant un peu plus de rouge et de bleu. La terre d'ombre brûlée en augmentant la proportion de rouge et de bleu. Il sera difficile d'obtenir un rouge vermillon lumineux, à partir d'une association de rouge et de jaune (certaines couleurs que l'on ne pourra pas obtenir par combinaison, devront être achetées).Pour la nature morte:,L'utilisation du rouge de cadmium moyen utilisé pour peindre l'étiquette de la bouteille et les abricots, est plus adaptée que celle des rouges carmin (quoique possible avec du rouge carmin et du jaune de cadmium clair) ou magenta, trop profonds et moins lumineux.
Pour simuler le papier d'aluminium froissé sur lequel sont déposés les objets et les fruits, on fait varier toute une gamme de gris (du profond quasiment noir, au gris bleuté très clair).
Finalement, les teintes les plus utilisées sont: le vert émeraude du feuillage, le rouge de la bouteille et des fruits, le gris du papier d'aluminium.
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