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J'intégre ces 2 dernières vidéos qui explicitent dans le détail, la manière et la technique pour réaliser les 2 vagues du premier plan.
Le processus est identique à celui utilisé dans les précédentes vidéos, pour cette raison je ne m'attarderai pas dans les commentaires.
En résumé, les principaux points qui concernent cette marine sont les suivants, en utilisant:
- un mélange vert viridian, blanc de titane pour l'intérieur de la vague éclairée par le soleil rasant.
- Pour la partie interne des déferlantes, une association de bleu de cobalt, de viridian et de terre d'ombre.
- Du blanc de titane pur, pour l'écume en pleine lumière.
- Un mélange blanc de titane et bleu de cobalt, pour les parties ombrées de l'écume.
- Du jaune de Naples pour les rochers éclairés.
- Une palette qui change à partir de ces 5 couleurs, au gré de la réalisation.
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Vous avez pu remarquer que l'intérieur de la vague qui vient s'écraser sur les rochers est elle aussi peinte avec le mélange virivian et blanc de titane pour illuminer cette zone éclairée par la lumière rasante venant de la gauche.
C'est le jaune de Naples qui va être utilisé pour rendre lumineux les cotés exposés aux rayons du soleil. Les partie de la roche non exposées à ces rayons et restant dans la pénombre sont recouvertes d'un bleu pâle ( bleu de cobalt et blanc). La combinaison avec le mélange initial (terre d'ombre, bleu de cobalt et viridian) encore humide va donner une teinte qui correspond pour cette peinture, à la couleur des rochers. Un bleu pâle, un peu plus soutenu va délimiter les contours et la base des rochers. Le pinceau éventail viendra enfin donner cet atmosphère brumeux.
La teinte pour peindre l'intérieur des petites vagues est constituée par le bleu de cobalt, le vert viridian et une pointe de terre d'ombre. Cette couleur translucide et couvrante laisse apparaître la couleur sous jacente.
Mélanger du bleu et de la terre d'ombre pour modeler éventuellement un nouveau rocher.
Utiliser le même processus que lors de la réalisation de la déferlante, pour peindre crête et écume en fonction de l'incidence de la lumière latérale.
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Christine Magré trouve son style très
personnel et novateur avec l'utilisation d'encres
de couleur. On y retrouve une technique très spontanée
du geste, proche de la calligraphie.
Ses sources d'inspirations viennent justement de la peinture
Chinoise et de la Calligraphies Chinoises et Arabes.
C'est dans le midi de la France, près de la rivière " La Touloubre à Pélissanne", que Christine Magré exerce
son art. Elle prend soin d'y faire ressortir particulièrement
les formes, les perspectives, les volumes et l'esthétisme,
qui caractérisent sans conteste ses encres.Un peu d'information:
Une rivière atypique: LA TOULOUBRE
Fiches de la qualité des eaux de la Touloubre
Pour la Touloubre à Pélissanne, la fiche est celle de la Touloubre à la Barben 2
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