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    Un Musée, une pépite : “Madeleine dans le... par telerama Cette femme énigmatique peinte par Eugène Delacroix en 1845 vient-elle de tomber en pâmoison ou est-elle déjà morte ? Observons de plus près son visage avec l'historienne d'art Dominique de Font-Réaulx.

    Remarquée par le poète-critique d’art Charles Baudelaire lors de sa présentation au Salon de 1845, La Madeleine dans le désert est une des pièces maîtresses des collections du musée. De toutes les œuvres d’inspiration religieuse de Delacroix, celle-ci est assurément l’une des plus exceptionnelles, tant par sa composition que par le mystère qui émane de cette femme à la chevelure lourde et somptueuse. Elle figura parmi les œuvres choisies par Delacroix pour être présentée à l’Exposition universelle de 1855.

     

    Une œuvre insolite et unique

    Depuis son exposition au Salon de 1845 (n°435), ce tableau n’a guère laissé indifférent ; œuvre insolite, unique à dire vrai dans la production religieuse de Delacroix par l’intensité émotionnelle qui émane du personnage au regard et au sourire énigmatiques, lumineuse apparition aux tonalités rubéniennes sur un fond de paysage sombre et austère. 

    Si Delacroix avait peint, probablement peu avant 1845, une Madeleine en prière (collection Oskar Reinhart, Winterthur) qui semble plus conforme stylistiquement à ses autres œuvres d’inspiration religieuse, il ne fait aucun doute qu’il attachait beaucoup d’importance à cette Madeleine, puisqu’il tint à l’inclure dans la brillante sélection de ses œuvres présentées à l’Exposition Universelle de 1855. 
     

    La critique

    Cette oeuvre énigmatique suscita de nombreux commentaires, tant critiques qu’élogieux. Retenons celui, si perspicace, de Baudelaire fasciné par "cette fameuse tête de la Madeleine renversée, au sourire bizarre et mystérieux, et si surnaturellement belle qu’on ne sait si elle est auréolée par la mort, ou embellie par les pâmoisons de l’amour divin." (" Curiosités esthétiques ", IV, Exposition universelle 1855 », p.238). 
     

    Brève histoire de la Madeleine

    D’après Achille Piron (1865), Delacroix aurait vendu la Madeleine dans le désert en 1854, malheureusement le nom de l’acquéreur n’est pas connu. En 1885, lorsque l’œuvre est exposée à l’École des Beaux-Arts, le livret indique qu’elle est prêtée par Daniel Iffla, dit Osiris (1896-1904), qui acheta le domaine de Malmaison en 1896. 


      Eugène Delacroix, par laurentsaintgermain

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    Quelle est donc la couleur de cette partie dans l’ombre ?

    Voilà une question sans doute assez basique, mais importante. Et ça n’est certainement pas en rajoutant du noir qu’on fera une ombre convaincante !

    L’ombre est aussi importante que la partie la plus éclairée.

     

    On peut toujours faire une ombre en mettant la même couleur en plus sombre, mais c’est loin d’être l’idéal…

    Pour la faire, ou tout au moins bien la commencer (après, on pourra toujours nuancer, rajoutant deci delà quelques couleurs qu’on aura vues), il faut appliquer une règle primordiale :

    On mélange la couleur d’origine (éclairée) à sa complémentaire.

    Un petit rappel avec les 6 couleurs primaires et secondaires.

    Voici le « cercle chromatique » :

    CERCLE CHROMATIQUE

    Les couleurs primaires sont le jaune, le rouge, et le bleu. En les mélangeant deux par deux on obtient les couleurs secondaires, soit l’orange (jaune + rouge), le vert (jaune + bleu) et le violet (rouge + bleu).

    Sur le cercle chromatique, les couleurs complémentaires (importantes pour notre démonstration) sont en face de la couleur d’origine.

    Ainsi, face au jaune, nous avons du violet (on dit que le violet est la couleur complémentaire du jaune et réciproquement) et de même pour les autres couleurs :

    Face au rouge, nous avons le vert.

    Face au bleu, nous avons l’orange.

    La règle est donc la suivante :

    –  pour faire l’ombre du jaune, on mélangera avec du violet (et réciproquement)

    – pour faire l’ombre du rouge, on mélangera avec du vert (et réciproquement)

    – pour faire l’ombre du bleu, on mélangera avec de l’orange (et réciproquement)

    Après on peut toujours un peu affiner.

    Des complémentaires improbables

    Il arrive parfois que les couleurs soient complexes et que la complémentaire soit pas facile à trouver, comme pour un visage par exemple. Dans ce cas, il existe un petit « truc ». Il faut pour cela disposer d’un logiciel de traitement d’images (Photoshop, PaintShop pro, Gimp, etc…). Vous affichez la photo en négatif et vous voyez tout de suite les complémentaires qui vous serviront donc à faire les ombres en les mélangeant avec les couleurs du positif.

    Enfin, vous pourrez lire qu’il y a toujours du bleu dans l’ombre. Je dirais que ça dépend. En extérieur, avec un ciel bleu et un mur blanc au soleil, la partie ombrée sur le sol contiendra du bleu. Mais ça n’est pas une règle générale.

    http://www.journaldespeintres.com/

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  • Dessin et peinture - vidéo 1162 : Dessiner un personnage de manga.

     

    Comment poser les trames ?

    Réaliser une planche de Manga.

    Dessin et peinture - vidéo 1419: Réaliser une planche de Manga. 

     

    Le Manga raconté par 2 passionnées.

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