L'oreille externe

 La forme extérieure de l'oreille fait penser à un mégaphone, sa forme simplifiée est

comparable à l'oreille de shrek. La partie extèrieure circulaire est l'hélix.

Compte tenu de la présence de la conque à l'arrière de l'oreille, cet organe forme un angle plus ou moins important avec la tête et l'on parle parfois d'oreilles décollées.

               

                

 Structures de l'oreille externe
L'oreille externe est composée de 2 structures :
-l'auricule ou pavillon de l'oreille : structure cartilagineuse (cartilage élastique) et cutanée
-le conduit auditif externe : la moitié latérale est cartilagineuse et la moitié médiale est osseuse

L'auricule
L'auricule est un seul et même cartilage présentant la pluspart des reliefs :
-l'hélix : premier relief externe et postéro-supérieur, il se termine inférieurement par le lobule de l'oreille (qui n'est pas cartilagineux et qui est l'endroit principal où on met des boucles d'oreilles)
-l'anthélix : relief se trouvant antérieurement par rapport à l'hélix, délimite une dépression antérieurement : la conque qui se poursuit par le conduit auditif externe (la conque permet de gagner 10 dB).
-la gouttière scaphoïde entre l'hélix et l'anthélix.
-le tragus : relief se trouvant antérieurement et en avant du conduit auditif externe
-l'antitragus : relief se trouvant inférieurement par rapport au tragus

Pour dessiner rapidement une oreille, il faut imaginer un grand point d'interrogation dans lequel est inclus un y.

Positionnement des oreilles par rapport au crâne.

Les oreilles se situent dans le quart inférieur droit d'un cercle, dont la surface représenterait le crâne vu latéralement et dont le rayon inférieur serait la ligne de contact de l'oreille et du crâne. La partie supérieure de l'oreile passe par le diamètre qui se prolonge au niveau des sourcils et la partie inférieure se situerait dans le ptolongement de la base du nez. 

    Vue en perspective

Dessin de l'oreille

La photo de référence.

Commencez par la plus de grande forme de l'hélix et du lobe de l'oreille. rappelez-vous la forme "?" Respecter les proportions des oreilles / à la tête et l'angle formé. Mesurer l'angle de l'oreille, plus ou moins ouvert selon l'individu.

Dessiner les reliefs à l'intérieur de la conque pour donner cet aspect valonné.

Apporter de la précision dans les détails des formes

Griser les zones  en retrait, pour créer les ombres.

Jonathan Madzinga est né au Zimbabwe, Afrique du sud. Il peint dès l'âge de 6 ans, encouragé par son père, peintre lui aussi. Il persévère et reçoit de nombreuses formations. Il expose depuis 2002 au Zimbabwe, au Botswana, en Afrique du Sud, Pays-Bas, Royaume-Uni, à Dubaï, au Canada, aux Etats-Unis, et en Australie. Ses peintures originales sont représentatives de sa culture et de son amour pour ses racines africaines.

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 C'est une peinture sur support entoilé de 210x320cm (ça fonctionne avec un balai, mais pas avec un aspirateur !!!!).

Qu'est-ce qu'une nature morte ?

Ce terme désigne un sujet constitué d'objets inanimés. On trouvera ainsi des fruits, des fleurs, toutes sortes d'objets et même des animaux morts.

Petit historique de la nature morte

Dès l'Antiquité, on voit apparaître la nature morte : mosaïques et fresques font la part belle aux éléments de la nature, aux victuailles et autres objets.

Puis au Moyen Âge, dans les enluminures des textes sacrés, le thème de la nature morte est utilisé en tant que décoration autour du texte jusqu'à prendre de plus en plus de place. On la retrouve également en sculpture et en peinture comme élément symbolique.

Au cours du 16ème siècle, elle devient un genre à part entière. Les « vanités » ont un fort rôle symbolique dans la religion catholique pour rappeler le caractère éphémère de la vie : crânes, sabliers, verres renversés, bougies… sont très utilisés à cette époque.

Au 18è siècle, la peinture hollandaise va énormément développer le thème de la nature morte mais pour une clientèle bourgeoise avec des peintres entièrement spécialisés sur ce sujet. Les éléments des tableaux vont donc évoluer : fleurs, fruits et victuailles retrouvent toute leur place.La nature morte perd sa valeur symbolique pour une valeur esthétique.

Au 19ème siècle puis au 20ème siècle, la photographie étant apparue, la représentation classique des objets perd de son intérêt pour les artistes.

Elle va donc peu à peu devenir un sujet d'expérimentation de nouveaux systèmes perspectifs et représentatifs et par conséquent un genre incontournable pour tous les artistes. Elle va ainsi se décliner dans tous les styles : expressionniste, cubistes, surréalistes, pop-art… pour devenir un genre majeur en peinture et en dessin.

Ma vision de la nature morte

Loin d'être morte je la trouve très vivante au contraire, j'aime beaucoup dessiner les fruits et les fleurs mais surtout j'aime composer et organiser les objets choisis dans mon tableau. La nature morte est un sujet d'étude très intéressant qui permet de s'exprimer de manière très variée et très vivante ! Elle offre des capacités d'expression énormes !

Une petite mission pour vous!

Recherchez des exemples de natures mortes et partagez-les sur vos blogs, dîtes-nous pourquoi elles vous ont plu et pourquoi vous les avez choisies... (et dites moi surtout quand c'est fait que je passe voir !

Venez également partager votre vision de la nature morte dans les commentaires : comment la voyez-vous ? Quel format ? En hauteur ? En largeur ? Quels sujets voudriez-vous mettre en place dans la vôtre ?

    En attendant la deuxième partie du dessin au pastel, voici une petite présentation des pastels secs, une autre vidéo va suivre pour expliquer plus en détail l'utilisation de ces craies pour la réalisation d'un dessin.

      Cette toile, bien que représentant deux jeunes ados, est une allégorie à la beauté et à la simplicité. La jeune fille de gauche est plongée dans une mystérieuse pénombre, en retrait par rapport au second personnage. Tout semble les opposer, la blondeur de l'une est en opposition avec les cheveux bruns du second personnage. le vêtement légèrement décolleté contraste avec les bras dénudés de la jeune fille aux longs cheveux. A l'exception d'un ruban bleuté, l'ensemble des vêtements est immaculé. Le teint halé de l'une est le pendant de la peau laiteuse de la fille de gauche. N'est peint que ce qui est absolument nécessaire, les couleurs se fondent entre elles et donnent ce coté mystérieux à la peinture. 

Autrefois la récolte, était réalisée manuellement à la faucille et ce jusque dans les années 1950-1955 qui virent l'apparition des premières machines. De nos jours, cette méthode ne se pratique plus sauf dans certains cas de petites surfaces inaccessibles ou pour des besoins ponctuels : coupes pour la fleur ou pour la sélection de certains semis.

On récolte la lavande entre le 15 juillet et le 15 août suivant les conditions climatiques, les variétés et l'altitude. Pour obtenir le meilleur rendement, on pratique cette opération quand la surface arrive à 75% de floraison moyenne. Si la coupe mécanique présente quelques inconvénients, surtout en zones caillouteuses et accidentées, ses avantages sont évidents et ont largement contribué à l'essor de la lavandiculture.

  J'ai réalisé ce tableau à l'acrylique sur une toile de 60x80 cm, en imaginant la manière dont les cultivateurs pouvaient pratiquer ce type de récolte.